Le projet ROOSEVELT 2012 va beaucoup plus loin qu'un programme social-démocrate classique.
En 15 mesures seulement, mais de très grande ampleur, le collectif se propose de donner les moyens au futur président de gérer l'urgence, avant que le système économique et financier mondial ne s'effondre, ce qui pourrait bien se produire d'ici quelques mois.
ROOSEVELT 2012 : 50 personnalités de divers horizons (non "encartées" pour la plupart) 35.000 signataires du manifeste 3600 membres actifs au sein du réseau Nouvelle Donne
Le court billet consacré au projet Roosevelt ne doit pas être interprété, malgré son ton moqueur, comme condescendant ou dédaigneux à l'égard de l'initiative en question. Si justement nous avons relayé le projet ici, c'est parce que nous avons pour celui-ci de la sympathie, et nous sommes d'ailleurs signataires de l'appel "Nous avons décidé d'agir".
Le projet Roosevelt 2012 va plus loin qu'un programme social-démocrate classique, c'est certain. Il n'en reste pas moins, dans sa nature, un programme qui relève de la social-démocratie, en ce sens qu'il modifie le fonctionnement de l'économie capitaliste dans le sens des intérêts des classes populaires (et de l'environnement, et de la culture, etc...). C'est très bien, et si ce programme était appliqué, je me réjouirais. Mais en tant que militant communiste (je parle ici à titre personnel, sans engager les autres auteurs du compilateur), je ne peux guère m'en contenter, et je me dois de me faire observer que le libre fonctionnement du système bancaire (même après séparation des deux activités) et de la grande industrie, sous un régime de propriété privée, induit nécessairement une société extrêmement inégalitaire, potentiellement violente, et inévitablement nocive pour les éco-systèmes dans lesquels elle s'inscrit.
Mais une fois ceci dit, il faut aussi constater que nous sommes d'accord pour le début du chemin. C'est déjà ça.
Le projet ROOSEVELT 2012 va beaucoup plus loin qu'un programme social-démocrate classique.
RépondreSupprimerEn 15 mesures seulement, mais de très grande ampleur, le collectif se propose de donner les moyens au futur président de gérer l'urgence, avant que le système économique et financier mondial ne s'effondre, ce qui pourrait bien se produire d'ici quelques mois.
ROOSEVELT 2012 :
50 personnalités de divers horizons (non "encartées" pour la plupart)
35.000 signataires du manifeste
3600 membres actifs au sein du réseau Nouvelle Donne
Le court billet consacré au projet Roosevelt ne doit pas être interprété, malgré son ton moqueur, comme condescendant ou dédaigneux à l'égard de l'initiative en question. Si justement nous avons relayé le projet ici, c'est parce que nous avons pour celui-ci de la sympathie, et nous sommes d'ailleurs signataires de l'appel "Nous avons décidé d'agir".
RépondreSupprimerLe projet Roosevelt 2012 va plus loin qu'un programme social-démocrate classique, c'est certain. Il n'en reste pas moins, dans sa nature, un programme qui relève de la social-démocratie, en ce sens qu'il modifie le fonctionnement de l'économie capitaliste dans le sens des intérêts des classes populaires (et de l'environnement, et de la culture, etc...). C'est très bien, et si ce programme était appliqué, je me réjouirais. Mais en tant que militant communiste (je parle ici à titre personnel, sans engager les autres auteurs du compilateur), je ne peux guère m'en contenter, et je me dois de me faire observer que le libre fonctionnement du système bancaire (même après séparation des deux activités) et de la grande industrie, sous un régime de propriété privée, induit nécessairement une société extrêmement inégalitaire, potentiellement violente, et inévitablement nocive pour les éco-systèmes dans lesquels elle s'inscrit.
Mais une fois ceci dit, il faut aussi constater que nous sommes d'accord pour le début du chemin. C'est déjà ça.