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mercredi 25 juillet 2012

Marc Fiorentino ne tue pas

Marc Fiorentino ne tue pas
Le 7 mai au matin, c'est à dire le lendemain de la victoire du social-libéral François Hollande à la présidentielle, les marchés (jolie hypostase) s'attaquent à la France et la mettent à genoux, en faisant exploser les taux d'intérêts relatifs à ses titres de dette. Le président est obligé de renoncer à ses principales promesses de campagne, et de faire un grand discours pour rassurer les marchés, avant d'appeler à l'aide Angela Merkel.

Après vérification, le compilateur est en mesure d'affirmer que la version de l'Histoire qui précède, c'est de la merde de taureau, comme disent les Angles et les Saxons. C'était pourtant la prévision de Marc Fiorentino (qui travaille pour MonFinancier.com et pour La Tribune), entre autre. C'était aussi la partition d'une bonne partie de la droite, qui promettait l'apocalypse financière en cas de victoire socialiste, comme elle avait anticipé l'arrivée des chars soviétiques sur la place de la concorde en 1981.

Le plus drôle, ou ce qui est triste à pleurer, c'est selon, c'est qu'il y a fort à parier que ce bonhomme, qui pourrait raisonnablement vouloir aller se cacher dans les Cévennes ou dans la forêt de Sénart après une telle opprobre, va sans doute continuer à sévir dans son petit journal, comme si rien n'était advenu.


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